Salle des microfilms

Que trouve-t-on dans les salles des microfilms, à Paris et à Pierrefitte ?

Des collections des Archives nationales microfilmées pour préserver les documents originaux

Lors de votre commande, il est signalé que le document est microfilmé. 

Vous devez alors vous rendre en salle des microfilms. 

À  Paris, les bobines sont en accès direct. 
À Pierrefitte-sur-Seine, il faut les demander aux présidents de salle. 

Il n’y a pas de quota sur le nombre de bobines consultables dans une séance.

Comme les originaux, les microfilms correspondant à des articles non librement communicables sont consultables uniquement sur présentation d’un courrier de dérogation aux délais légaux de communicabilité des archives publiques ou d’autorisation de consultation d’archives privées.

Les microfilms reproduisent des fonds en entier ou partiellement. 

Pour le site de Paris

La liste est consultable sur la recherche par le cadre de classement.

On peut citer :

- J et JJ (Trésor des chartes) ; 
- K et KK (Monuments historiques) ;
- L (Monuments ecclésiastiques) ;  
- O/1 (Maison du roi) ;  
- X (Parlement de Paris) ;
- AE (Musée des Archives nationales) ;  
- Marine (série B). 

Pour le site de Pierrefitte-sur-Seine

Les archives microfilmées portent sur des fonds très différents. 

Certaines comportent une cote Mi qui est distincte de l’original papier. 
Consulter le tableau

D’autres reprennent la cotation des originaux.
Consulter le tableau (cadre de classement)
Consulter le tableau (cotes continues)

Des microfilms de collections conservées par d’autres services d’archives ou institutions

Tous ces microfilms sont cotés en série Mi (par exemple : 21 Mi Fonds de Simancas, rapatrié en Espagne).

Pour Paris, la liste est consultable sur la recherche par le cadre de classement.

Pour Pierrefitte-sur-Seine, il faut consulter le tableau ci-dessous.
Consulter le tableau

Les microfilms d’une partie des fonds des Archives nationales d’outre-mer

Ils sont visionnables uniquement dans la salle des microfilms de Paris, au 3e étage du Caran, en libre accès.

Ils comprennent l’état civil, les registres paroissiaux et les notaires des Dom-Tom ou des anciennes colonies (XVIIe-XIXe siècle). 

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