Les danses du monde, du cours à la performance, affiche du spectacle de fin d’année à la MJC de Ris-Orangis (Essonne), juin 2010 © MJC Ris-Orangis E n parallèle, des réseaux d’éducation populaire se sont mobilisés pour redonner vitalité et attractivité aux danses traditionnelles : des confédérations rassem-blant des centaines de groupes folkloriques ont ainsi opéré à l’échelle nationale ou régionale et certaines sont encore très actives en Bretagne ou au Pays basque. S’y sont formés les premiers militants du mouvement revivaliste, qui allaient donner un coup de jeune au bal, rebaptisé bal folk, fest noz ou balèti. À la génération suivante et plutôt en milieu urbain, la diffusion des danses du monde repose encore sur des as-sociations fidèles aux idéaux de l’éducation populaire, qui voient dans cet emblème de la diversité culturelle un levier pour l’intégration des populations issues de l’immigration. Les danseurs du groupe de recherche et d’expression rurale « Les Pibolous » à Verruyes (Deux-Sèvres), 1974, Archives Culture populaire et loisirs - Les Pibolous © photogr. tous droits réservés RETOUR SOMMAIRE Le cinéma Les animateurs Le théâtre et le cirque Les bibliothèques populaires Des artistes instructeurs La danse populaire Les colonies de vacances L’animation scientifique L’engagement civique