D ès cette époque, leur fragilité est cependant pointée du doigt : la concurrence entre les associations est rude, l’entreprise n’est pas rentable, les « colos » sont souvent logées dans des installations de fortune et elles dé-pendent du bon vouloir et des subsides de l’État. De fait, dès la fin des années 1950, une fois l’élan de la reconstruction passé, des réductions budgétaires se font sentir. La popula-rité de ces vacances en collectivité n’est pas pour autant en-tamée et elles sont même relayées, pendant l’année scolaire, par les classes de neige, de mer ou de nature. Timbre poste, Jeunesse au plein air, dessin Hervé Morvan, 1962, Arch. dép. Val-de-Marne, 525J 258 © Arch. dép. Val-de-Marne lire la suite Le cinéma Les animateurs Le théâtre et le cirque Les bibliothèques populaires Des artistes instructeurs La danse populaire Les colonies de vacances L’animation scientifique L’engagement civique